Vente « Florilège » 2023 de Me Karl BENZ au château de Quintin.

La jeune étude de Me Karl BENZ présente la deuxième édition de sa vente « Florilège », au château de Quintin (22).

L’année dernière, la vente avait offert un record pour une faïence monochrome blanche de Mathurin Méheut : « la femme aux roussettes ». La statuette avait été adjugée pour la somme de 29 475 € (frais compris).

JEAN-HAFFEN
Yvonne JEAN-HAFFEN (1895-1993) – Charette de goémoniers, vers 1930 (HENRIOT) – Hauteur : 15,2 cm. Longueur : 29 cm. Largeur : 12 cm (estimation : 2 000 € – 3 000 €).

Cette année, nous retrouvons une trentaine de céramiques issues des fours des manufactures quimpéroises.

La première partie de cette vacation est consacrée à « la Bretagne et la Mer » (Breizh hag ar Mor).

Cudennec
Patrice CUDENNEC – « Pêcheurs », Pièce unique 2012 (HENRIOT Quimper) – Diamètre : 36 cm (estimation : 800 € – 1 200 €).

Vous pouvez consulter le catalogue de la vente, à l’aide du lecteur Calaméo.

Karl BENZ – « Florilège » – château de Quintin (22).
Samedi 24 juin 2023 à 14 h.

2023 – Karl Benz ©

À Pont-Aven, dans les pas de Méheut, « arpenteur de la Bretagne » (Le Télégramme).


Jamais le Musée de Pont-Aven n’avait encore consacré d’exposition à Mathurin Méheut, un des peintres phares de la Bretagne de la première moitié du XXe siècle. Du 25 juin au 31 décembre, le peintre « arpenteur de la Bretagne » y sera à l’honneur.

le pardon de Notre-Dame de la Joie, à Penmarc’h
Sophie Kervran, conservatrice du Musée de Pont-Aven, et Denis-Michel Boëll, commissaire scientifique de l’exposition, avec une œuvre de Mathurin Méheut, représentant le pardon de Notre-Dame de la Joie, à Penmarc’h, alors très apprécié des peintres.

« J’arpente mes 15 à 20 km par jour […]. Je découvre chaque jour des merveilles ». Ces mots sont ceux de Mathurin Méheut, peintre prolifique et curieux de sa Bretagne, auquel le Musée de Pont-Aven consacre une exposition pour les six prochains mois.

Cent vingt œuvres illustrent cet événement, baptisé « Mathurin Méheut, arpenteur de la Bretagne ». Des toiles, bien sûr, mais aussi des dessins, des sculptures, de la correspondance, et quelques pièces de son Service de la Mer réalisé pour la faïencerie Henriot. Une exposition qui coïncide avec l’ouverture du nouveau musée Méheut, à Lamballe.

l’Institut de géologie de Rennes
Cette vue de la Côte de granit rose est l’une des 24 œuvres peintes par Mathurin Méheut et Yvonne Jean-Haffen pour l’Institut de géologie de Rennes.

« Il s’intéresse à tout ce qu’il voit »

Méheut et la Bretagne, c’est une longue histoire, comme aime la conter Denis-Michel Boëll, commissaire scientifique de cette exposition, qui avait consacré à l’artiste un événement rassemblant 600 œuvres et documents, en 2013, au Musée de la Marine, à Paris. L’histoire de sa naissance à Lamballe, bien sûr. Mais aussi celle d’une redécouverte de son pays quand, en 1910, cet ancien étudiant des Beaux-Arts de Rennes, puis de l’École supérieure des Arts décoratifs de Paris, est envoyé à Roscoff, pour y étudier et dessiner les animaux marins. Il a 28 ans. « Il y reste trois ans. On peut dire qu’il découvre la Bretagne », souligne Denis-Michel Boëll. Outre ses milliers de dessins et ses planches naturalistes, « il participe à la vie locale, poursuit le spécialiste. Il suit les Johnnies, la récolte du goémon, les pardons, fait sa première excursion en Pays bigouden. Il s’intéresse à tout ce qu’il voit ».

Planches naturalistes
Au début de sa carrière, Mathurin Méheut réalise des planches naturalistes, à l’occasion d’un séjour de trois ans à Roscoff.

Après la terrible parenthèse de la Grande Guerre, qu’il illustre avec réalisme, Méheut se réfugie au Pays bigouden, sa base bretonne. « Il revient tous les ans en Bretagne, explique Denis-Michel Boëll. Il travaille alors à Paris sur de nombreux projets. Mais quand il est ici, il court partout, se fait conduire, marche énormément ». Et dessine, avant de reprendre ses travaux en atelier.

En ce sens, Mathurien Méheut est un témoin de cette Bretagne de la première moitié du XXe siècle. Avec un style inclassable, mais qui reste « figuratif, de facture assez classique », concède Denis-Michel Boëll.

Brûlage de goémon
Sophie Kervran, la conservatrice du Musée de Pont-Aven, et Denis-Michel Boëll, le commissaire scientifique de l’exposition, devant une œuvre jamais montrée : une scène de brûlage de goémon nocturne, en Pays bigouden.

Quelques inédits

L’exposition fait la synthèse de cette matière bretonne immense. Les œuvres sont issues de collections publiques et privées. Avec quelques inédits jamais montrés. Comme cette scène de brûlage de goémon en Pays bigouden, de nuit, balayée par l’éclat du phare d’Eckmühl. Ou ce cirque, peint du côté de Logonna-Daoulas, tableau restauré pour l’occasion. La curiosité quasi ethnographique de Méheut est mise en lumière. Ses scènes de pardons, son regard sur les métiers, ses détails de costumes et de coiffes ont valeur de témoignages uniques.

Pardon du côté de Logonna-Daoulas
Cette scène de pardon du côté de Logonna-Daoulas a été restaurée pour cette exposition.

Son travail avec Yvonne Jean-Haffen est aussi esquissé. Avec quelques-unes des lettres illustrées qu’il adressait à sa disciple. Ou cette scène du pardon de Trédaniel peinte à quatre mains. À l’arrivée, ce voyage dans l’œuvre de Méheut est incontournable. Il n’y a qu’à suivre ses pas pour découvrir cette Bretagne, à Pont-Aven.

Pratique : Exposition du 25 juin au 31 décembre. Pour une entrée achetée au musée de Pont-Aven ou à celui de Lamballe, tarif réduit dans l’autre.

Accrochage
Dernières touches à l’accrochage, avant l’ouverture de l’exposition, le 25 juin.

Publié le 17 juin 2022 par Olivier Desveaux – Le Télégramme ©

Cinq bonnes raisons d’aller voir l’exposition Mathurin Méheut à Roscoff (Le Télégramme).

Annick et Guy-Alain Lirin
Guy-Alain Lirin, président des Amis des Arts de Roscoff avec son épouse, Annick, secrétaire de l’association.

Du 9 avril au 8 mai 2022, l’association les Amis des Arts de Roscoff organise une exposition consacrée au travail du peintre Mathurin Méheut. Un événement longtemps repoussé mais qui prend finalement place à l’Abri du canot et à la chapelle Sainte-Anne de Roscoff.

1 Contempler plus de 100 œuvres exposées

L’exposition regroupe des œuvres d’une dizaine de collectionneurs?, pour la plupart jamais exposées, mais également quelques toiles du musée Mathurin-Méheut de Lamballe. « On a fait de superbes découvertes », lance Guy-Alain Lirin, président des Amis des Arts de Roscoff. Avec plus de 100 productions, l’exposition regroupe des croquis, dessins, tableaux, faïences, mais également des photographies d’époque ou encore des correspondances entre l’artiste et son élève, Yvonne Jean-Haffen.

2 Découvrir des travaux réalisés localement

Si Mathurin Méheut a produit des œuvres partout en Bretagne et même dans le monde, la période roscovite de l’artiste est une des plus importante dans sa carrière. En 1910, il est missionné par la revue « Art et Décoration » pour illustrer trois articles sur le monde marin. Roscoff et sa station biologique lui sont alors conseillés. Il devait rester un mois, il restera deux ans. « Le bilan de cette période roscovite serait de 100 toiles, 400 aquarelles, 200 dessins et 2 000 croquis », déclare Gilles Baratte, secrétaire de l’association des amis de Mathurin Méheut et spécialiste du travail de l’artiste.

Gilles Baratte
Gilles Baratte, administrateur du musée Mathurin Méheut de Lamballe, propose une conférence sur « Mathurin Méheut à Roscoff et l’île de Batz » le 1er mai.

3 Comprendre la vie roscovite au début du XXe siècle

En deux ans, parmi sa large production, les Roscovites et Batziens-iliens ont été largement représentés. Au travail, en mer, dans les champs ou au ramassage du goémon, ou à la maison en famille, ces représentations sont des marqueurs d’une époque. Chaque moment de vie est immortalisé. Si par le trait de Méheut, les personnages sont rarement identifiables, ils parlent tout de même à tous par le réalisme de l’environnement et des situations dans lesquelles ils sont représentés.

4 Apercevoir des travaux sur la biodiversité datant d’il y a 100 ans

Si Méheut s’est vite intéressé à la vie des Roscovites, il a tout de même énormément croqué la faune et la flore marine. De nombreuses études ont été produites lors de son passage à Roscoff. Une exceptionnelle frise au homard de plus de quatre mètres de long est notamment présentée lors de l’exposition. « Elle a été réalisée à Roscoff pour la famille Daniellou qui hébergeait l’artiste lors de son passage au couvent des Capucins. C’est tout un symbole qu’elle revienne à Roscoff », s’émeut Gilles Baratte.

Mathurin Méheut - roscovites
Photo de « Croquis roscovites »… On y distingue notamment le Reder Mor. Collection particulière.

5 Apprendre sur un des symboles de l’art breton

Mathurin Méheut a laissé une forte empreinte sur la région. Avec un style très particulier propre à lui et un nombre incalculable de productions, il est, encore aujourd’hui, un des artistes phares de l’art breton du XXe siècle. Sa collaboration avec manufacture de faïence Henriot, à Quimper, a également donné lieu à des œuvres mythiques. L’exposition de Roscoff est donc une belle occasion de découvrir ou de redécouvrir un patrimoine régional, aujourd’hui disséminé dans de nombreuses collections privées.
Pratique

Exposition ouverte tous les jours du 9 avril au 8 mai, de 14 h à 18 h 30, à l’Abri du canot et à la Chapelle Sainte-Anne, à Roscoff.

Entrée infinie pour toute la durée de l’exposition : 4 €, gratuit pour les adhérents, étudiants et – 18 ans. Trois Conférences à l’espace Mathurin-Méheut, entrée 5 € par conférence, 3 € pour les adhérents, étudiants et – 18 ans : « Mathurin Méheut, travail sur le terrain et en atelier », le 25 avril à 18 h 30, par Anne de Stoop, écrivaine et ex-conservatrice du musée Mathurin-Méheut de Lamballe. « La faune et la flore marines vues par Mathurin Méheut », le 30 avril à 18 h 30, par Michel Glémarec, biologiste marin et auteur de plusieurs ouvrages sur le peintre. « Mathurin Méheut à Roscoff et l’île de Batz », le 1er mai à 18 h 30, par Gilles Baratte.

Publié le 8 avril 2022 par Corentin Bonizec – Le Télégramme ©

la faïence de Quimper a plus de 300 ans (Le Télégramme).

Aiguières
Une magnifique paire d’aiguières sur piédouche en faïence polychrome décorées de danseurs, de musiciens et de bouquets. Les cols sont ornés des armes de Bretagne et de Quimper et les anses orange soulignées de filets noirs.

Lancée par un Provençal installé à la fin du XVIIe siècle dans la capitale de Cornouaille, la faïence devient en trois siècles l’une des marques de fabrique de la ville de Quimper, et un élément incontournable du patrimoine breton.

Les dates divergent selon les sources, qui parlent de 1690 ou 1699, mais toutes s’accordent sur un point : c’est bien à Jean-Baptiste Bousquet que l’on doit la création de la première faïencerie de Quimper. Installé dans le quartier de Locmaria, cet artisan provençal originaire de Saint-Zacharie crée son entreprise dans un endroit propice au développement de son activité. « D’une part, il n’y a pas d’autres faïenceries dans la province, au moins jusqu’à Nantes ou Rennes, explique Michel Roullot, spécialiste de la faïence, dans un ouvrage collectif consacré au sujet (*). D’autre part, les conditions techniques favorables sont réunies : le bois pour chauffer les fours est abondant et peu onéreux ; près de Quimper, à Toulven, aux bords de l’Odet, un gisement d’argile permet de fabriquer des poteries, du grès et de la faïence blanche ordinaire ; enfin, l’Odet qui traverse Quimper, permet de faire venir la terre facilement et d’expédier, par voie maritime vers le Léon et le Trégor, les produits fabriqués. »

Une période idéale

La période est aussi particulièrement bien choisie : suite à la grave crise financière qui touche le Royaume, conséquences des guerres menées par Louis XIV et la révocation de l’Édit de Nantes en 1685 qui entraîne l’émigration des protestants et la fuite de leurs capitaux, le roi de France oblige, fin 1689, les particuliers à porter leur vaisselle d’argent pour que ce matériau précieux soit transformé en monnaie, afin de renflouer les caisses de l’État. Nobles et riches bourgeois doivent dès lors s’équiper de nouveau. « Les faïenciers vont donc produire des pièces de grande qualité pour satisfaire la demande », poursuit Michel Roullot. D’autant plus que la création de ces fabriques est encouragée par Colbert, le ministre des Finances, afin d’éviter les importations. L’affaire de Jean-Baptiste Bousquet se développe à tel point que son fils Pierre, tout juste nommé maître-faïencier à Marseille, le rejoint. Il se retrouve à la tête de l’entreprise familiale moins d’un an après son arrivée, suite au décès de son père et poursuit le développement de la manufacture, spécialisée dans la fabrication de vaisselle mais aussi de pipes à fumer en terre.

Une histoire de famille

Au cours du XVIIIe siècle, la faïencerie continue sa croissance avec ses directeurs successifs, d’abord Pierre Bellevaux, gendre de Pierre Bousquet, qui apporte les techniques des faïences de Nevers dont il est originaire. Puis Pierre-Clément Caussy, fils d’un faïencier de Rouen, qui épouse la fille du nouveau patron. « Son apport à l’édifice de Quimper est des plus importants, explique le site du musée de la faïence (**). Il influencera la production jusqu’à la fin du XIXe siècle grâce aux nombreux poncifs qu’il avait eu soin d’emmener… » L’influence rouennaise transforme peu à peu la faïence quimpéroise en une production plus artistique. En 1771, la fille de Caussy épouse Antoine de La Hubaudière, qui donnera le nom définitif à la manufacture : HB – La Grande Maison. Jusqu’en 1917, les descendants se succéderont à la tête de l’entreprise familiale, avant qu’elle soit reprise par un industriel du Nord de la France.

Le développement des faïenceries

Dès la fin du XVIIIe siècle, la concurrence apparaît à Quimper face à la maison HB. D’anciens ouvriers lancent leur propre affaire, avec diverses fortunes. Au XIXe siècle, on compte ainsi plusieurs manufactures de faïence à Quimper et dans les alentours, mais peu parviennent à égaler HB. L’une d’entre elles va cependant y arriver : la manufacture Porquier. La firme prend la suite de la manufacture Eloury, du nom d’un ancien ouvrier de HB, qui a monté sa société en 1772. Spécialisée dans la faïence culinaire et utilitaire, l’entreprise s’aventure dans les années 1870 dans la faïence d’art avec Alfred Beau, qui apportera à la production finistérienne un nouveau souffle qui fera sa renommée. « Il est probablement le personnage le plus important de l’histoire des faïenceries quimpéroises, poursuit Michel Roullot. Originaire de Morlaix, élève d’Eugène Isabey, gendre d’Émile Souvestre, il est le créateur du premier décor breton ». Au début du XXe siècle, Quimper ne compte plus que trois manufactures : HB, PB (pour Porquier-Beau) et HR (fondée en 1891 par Jules Henriot).

Pour en savoir plus

(*) « Quimper, trois siècles de faïence », ouvrage collectif, éditions Ouest-France, 2002.

(**) Le site Internet du musée de la faïence de Quimper : www.musee-faience-quimper.com

« Histoire de la faïence de Quimper » de Bernard Verlingue, éditions Ouest-France, 2011.


Une concurrence farouche et un vivier d’artistes

Au cours de XXe siècle, les trois manufactures quimpéroises se livrent une concurrence farouche (avant de finalement fusionner les unes avec les autres au fil des années), rivalisant de créativité et n’hésitant pas à faire appel à des artistes – plus de 260 référencés – pour décorer leur vaisselle mais aussi créer des statuettes religieuses ou profanes, ainsi que des éléments décoratifs. Des peintres comme Mathurin Méheut, Yvonne Jean-Haffen, René Quillivic ou Jeanne Malivel y collaborent au cours de leur carrière.

Les motifs décoratifs s’enrichissent de multiples sujets d’inspiration locale et légendaire, comme des scènes de pêche, de marine ou encore de la vie quotidienne, tout en respectant la palette de couleurs typiques du style finistérien (bleu, vert, rouge, jaune et violet). Cette profusion créative et la qualité des productions font connaître la faïence de Quimper dans toute la France. Cet élan est renforcé par le développement du chemin de fer et l’avènement des loisirs balnéaires, qui attirent en Bretagne touristes et artistes.

La réputation de la faïence de Quimper va même dépasser les frontières de l’Hexagone. En effet, avec ses petits Bretons à l’allure folklorique peints à la main et représentés dans un style naïf, la vaisselle bretonne s’exporte de nos jours aux États-Unis, au Canada et même au Japon. Si Quimper reste aujourd’hui le dernier centre faïencier en activité de France, la fabrication – industrielle comme artisanale – reste dynamique, grâce notamment à de jeunes artistes qui perpétuent la tradition, tout en l’ancrant dans la modernité.

Publié le 29 août 2021 par Serge Rogers – Le Télégramme ©

Animation « Pierre & Céramique » à Plougastel-Daoulas, le 22 août 2021.

Pierre & Céramique

La ville de Plougastel organise tous les dimanches de l’été des animations.

Le dimanche 22 août, le thème retenu est : « Pierre & Céramique ».

Le stand sera tenu par les bénévoles de notre association au centre ville, de 10 h à 12 h 30.

Vous pourrez acheter nos publications et admirer quelques faïences de Quimper au décor de la ville de Plougastel (costume & décor).

L’après-midi, le Musée de la Fraise et du Patrimoine proposera une visite guidée autour de la collection de céramiques, de 15 h à 17 h 30.

La présentation des faïences sera assurée par les Amis du Musée et de la Faïence de Quimper.

René-Yves Creston
René-Yves Creston (1898-1964) – Assiette Femme et enfant de Plougastel (Henriot Quimper) – Faïence H: 2,6 ; diam. 24,5 cm.

« Pierre & Céramique »

Dimanche 22 août 2021 à Plougastel-Daoulas

Au centre-ville le matin, de 10 h à 12 h 30.

Au Musée de la Fraise et du Patrimoine l’après-midi, de 15 h à 17 h 30.

Nous vous attendons nombreux pour échanger avec nos passionnés.

Site internet du Musée de la Fraise et du Patrimoine.

A dimanche !

Marie-Renée Chevallier-Kervern
Marie-Renée Chevallier-Kervern (1902-1987) – Plaque (Henriot Quimper) – Faïence gravée H: 29,5 ; L. 38,7 cm.

Association des Amis du Musée et de la Faïence de Quimper ©