Découvrez le triptyque de l’artiste Yvonne Jean-Haffen (1895-1993), sur le Pardon de Saint-Barbe du Faouët.
Frédéric Bonnor (directeur du Musée de Dinan), vous propose une lecture de l’œuvre.
Publié le 28/05/2021 – France 3 Bretagne ©
Découvrez le triptyque de l’artiste Yvonne Jean-Haffen (1895-1993), sur le Pardon de Saint-Barbe du Faouët.
Frédéric Bonnor (directeur du Musée de Dinan), vous propose une lecture de l’œuvre.
Publié le 28/05/2021 – France 3 Bretagne ©
Peu connue du grand public, Yvonne Jean-Haffen, Bretonne d’adoption, est pourtant l’une des plus grandes peintres du XXe siècle dans la région. Installée dès 1937 à Dinan, elle n’aura de cesse de découvrir le territoire, qui fut l’une de ses principales sources d’inspiration, tout au long de sa vie.
Publié le 23/04/2019 – Le Télégramme ©
France 3 Bretagne ©
La demeure de l’artiste Yvonne Jean-Haffen, située au port de Dinan, vient de recevoir le label du ministère de la culture.
Créé par le ministère de la Culture en 2011, le label Maisons des illustres avait déjà été attribué à quatre lieux du secteur : le manoir de Limoëlou, près de Saint-Malo, qui abrite le musée Jacques-Cartier ; le château de Combour, sur les traces de Chateaubriand ; la maison de Louis Guilloux à Saint-Brieuc ; et la villa Les Rhumbs, à Granville, qui abrite le musée Christian-Dior.
La Grande Vigne, la maison que l’artiste peintre Yvonne Jean-Haffen (1895-1993) a léguée à la Ville de Dinan, vient de l’obtenir à son tour.
Ce label signale des lieux dont la vocation est de conserver et transmettre la mémoire de femmes et d’hommes qui se sont illustrés dans l’histoire politique, sociale et culturelle de la France. À ce jour, le réseau compte 230 Maisons des illustres, dont quelques-unes à l’étranger.
Attribué pour une durée de cinq ans, renouvelable, il constitue une reconnaissance officielle de l’intérêt patrimonial du lieu, qui se doit d’être ouvert au moins quarante jours par an.
La Grande Vigne, qui abrite aujourd’hui un musée consacré à Yvonne Jean-Haffen, répondait parfaitement aux critères définis par le label.
Elle sera désormais mentionnée dans les documents diffusés par le ministère de la Culture. Celui-ci pourra, par ailleurs, aider à monter des dossiers de demandes de soutiens financiers européens.
La maison prépare déjà l’exposition de l’été 2019 : » Je vous le dessine par la Poste « . Elle explorera la correspondance de Mathurin Méheut à Yvonne Jean-Haffen.
Publié le 29-30/12/2018 – Ouest-France©
Acquises auprès d’un particulier, il s’agit d’une quinzaine de pièces en faïence de Quimper vendues aux soldats allemands installés en Bretagne et d’une grande valeur.
Éric Pasturel et une partie des faïences Henriot de la 2e guerre mondiale. (Le Petit Bleu des Côtes-d’Armor).
« Durant l’Occupation, les faïences Henriot de Quimper, réquisitionnées, produisent pour la Luftwaffe (armée de l’Air) ou la Kriegsmarine (Marine), des articles en vente dans les foyers (Soldatenheim), notamment à l’occasion des fêtes de Noël » explique Eric Pasturel, gérant du musée, à Dinan.
« Datés de 1941 à 1943, ces assiettes, plats et autre chope à bière sont des pièces rares, et étaient dans les mains d’aviateurs, de marins et de sous-mariniers », ajoute le collectionneur.
Le musée 39-45 n’en finit pas de s’enrichir et dépasse aujourd’hui les 10 000 pièces très variées. Une aubaine pour les amateurs de cette époque, qui viennent de tout l’Hexagone mais aussi de l’Europe, voire de Russie, le visiter. Près de 5 000 sont venus admirer les collections du musée l’an passé.
« Le musée est connu au-delà des frontières puisque je travaille en partenariat avec un Tour operator allemand, et que des pièces du musée sont répertoriées sur des sites de passionnés en Russie ! ».
Pratique : Musée 39-45, rue du Pont de la Haye à Dinan-Léhon.
Publié le 2 Mai 2018 par la rédaction de Dinan – Le Petit Bleu ©
Le musée « 39-45 », rue du Pont-de-la-Haye, face à l’entrée de Saint-Jean-de-Dieu, à Léhon, vient d’enrichir sa collection de faïences de l’époque de l’occupation allemande. Datées de 1941 et 1942, ces pièces devenues très rares ont été fabriquées par les célèbres établissements Henriot de Quimper, réquisitionnés. Elles étaient mises en vente à l’époque dans les foyers de soldats de la Luftwaffe ou de la Kriegsmarine à l’occasion du « Noël de guerre ». Ces objets acquis auprès de particuliers viennent enrichir une collection de près de 10.000 objets, visibles tous les jours de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h.
Publié le 20 avril 2018 – Le Télégramme ©