Le verrier Erwan Haine (Bretons d’Ailleurs à Bruxelles – Tébéo).

Le verrier Erwan Haine est interviewé dans le cadre du magazine « Bretons d’ailleurs » consacré à la ville de Bruxelles.
Les vitraux de ce Bruxellois avaient été présentés lors de l’exposition Jeanne Malivel, au Musée de la Faïence de Quimper en 2018.

Publié le 01/03/2020 – Bretons d’ailleurs – Tébéo ©

Micheau-Vernez, l’œuvre de faïence – Conférence de Philippe Théallet.

L’association des amis du Musée départemental breton présente le dimanche 23 février 2020 à 15 h, une conférence sur l’œuvre de faïence de Robert Micheau-Vernez (1907-1989).

Philippe Théallet - Robert Micheau-Vernez

Philippe Théallet rappellera le parcours de cet artiste lié au mouvement des Seiz Breur. Le conférencier est historien de l’art et plus particulièrement spécialisé sur les artistes ayant collaborés au cours du 20ème siècle avec les différentes manufactures quimpéroises. Cette conférence fait suite à la publication de l’ouvrage « Micheau-Vernez – L’œuvre de faïence », publié chez Groix éditions en 2019 (lien).

Une conférence de Philippe Théallet (historien de l’art – Galeriste), le dimanche 23 février 2020 à 15 h 00 au Musée départemental breton à Quimper.

le nombre de places est limité, et elle est réservée en priorité aux amis du Musée départemental. Pour plus d’informations, veuillez contacter l’association :

Amis du Musée breton – 1 rue du Gradlon – 29000 Quimper
amismuseebreton@gmail.com – 02.98.90.18.22

Bretagne magazine n°111 (janvier-février 2020).

Couverture de Bretagne magazine

Le bimestriel « Bretagne magazine » n°111 (janvier-février 2020) vient de paraître. Plusieurs articles devraient certainement vous intéresser. Tout d’abord un reportage d’Annaïck Fleitour, titré « Au bonheur de Quimper », il fait découvrir le chef-lieu du Finistère sur 25 étapes.

Régine Guyomarc'h
Régine Guyomarc’h, une fée de la faïence (photo Simon Cohen ©).

On redécouvre les personnalités (Pascal Jaouen, Régine Guyomarc’h, Paul Moal, …) et les lieux bien connus (Le Musée de la Faïence).

Paul Moal
Paul Moal, une vie haute en couleurs (photo Simon Cohen ©).

Un dossier important est également disponible sur la Bretagne des années 1920 (Il y a 100 ans). On retrouve quelques artistes qui ont fait la renommée des faïenceries quimpéroises (Mathurin Méheut, la fraternité Seiz Breur).

La fraternité Seiz Breur
Article de Pascal Aumasson, « La fraternité Seiz Breur ».

Il est à noter qu’une couverture spéciale est disponible pour l’édition quimpéroise.

Amis du Musée et de la Faïence de Quimper ©


Musée de la Faïence de Quimper

« Le bonheur de vivre à Quimper » à la Une de Bretagne Magazine (Le Télégramme).

Du musée de la faïence à la cathédrale Saint-Corentin, de la Baleine déshydratée, dans le quartier mutant de Locmaria, aux espaces verts qui ajoutent charme et quiétude à la ville, Quimper est la vedette du nouveau numéro de Bretagne Magazine, qui paraît ce mercredi 18 décembre.

Seize pages lui sont consacrées. « L’occasion de voir rassemblés les fleurons du patrimoine et de l’art de vivre, mais aussi les bonnes adresses qui font de l’agglomération cornouaillaise une destination touristique dont le dynamisme ne cesse de drainer les visiteurs », écrit Tanguy Monnat, son rédacteur en chef.

Secrets de fabrication autour du fournil

« Ceux qui y vivent et ceux qui y passent ne manqueront pas de se rendre auprès des frères Alain et Philippe Guéguen », de la boulangerie-pâtisserie Pains et kouign. Voici quelques semaines, des passionnés de gâteau breton à l’ancienne, venus du Léon, du Pays bigouden et même du Morbihan, se sont réunis autour du fournil de cette maison bien connue, pour partager un tout petit peu de leurs secrets de fabrication de brioches, de « plaket », de « gochtial » ou de miches beurrées. Bretagne Magazine vous en offre quelques belles tranches.

Quimper encore, dans le cadre d’un dossier consacré aux années 1920 en Bretagne. Une époque où, par exemple, un Mathurin Méheut collabore avec la maison Henriot, tandis que le lycée de Quimper immortalise son équipe de football, dont la touchante photo sépia a été retrouvée. C’est aussi un temps où naissent les premières Fêtes de Cornouaille, en 1922, sous l’impulsion de l’Elliantais Louis Le Bourhis. Le sociologue Fanch Postic en fait le récit, évoquant notamment Marie Guirriec, reine de l’Odet, qui, en 1923, fut la première reine des reines de l’histoire de cette manifestation.

Bretagne Magazine, 100 pages, en vente ce mercredi chez tous les marchands de journaux, au prix 5,95 euros.

Publié le 16 décembre 2019 – Le Télégramme ©

Art et modernité en Bretagne, du 14 au 20 octobre 2019.

A partir du 14 octobre, nous débutons notre semaine sur le thème : « Art et modernité en Bretagne ». Nous vous proposerons un parcours en compagnie des artistes du début du 20ème siècle, et des artistes contemporains en Bretagne.
Une vidéo sera disponible tous les jours sur notre chaîne YouTube à 19 h.

N’hésitez pas à vous abonner ! (lien).

Art et modernité en Bretagne.

Amis du Musée et de la Faïence de Quimper ©

La vente Jean Fréour fait salle comble (Presse Océan).

Vente Jean Fréour à Batz-sur-Mer
Le commissaire-priseur Yves Cosqueric s’est occupé de la première vente des œuvres de Jean Fréour.

Après trois jours d’exposition dans la maison de Jean Fréour et à la salle des fêtes de Batz-sur-Mer, la première vente aux enchères des œuvres de l’artiste s’est déroulée hier après-midi. L’événement a fait salle comble.

Hier, près de 300 personnes se sont réunies à Batz-sur-Mer pour assister à la vente aux enchères des œuvres de Jean Fréour. À l’ouverture de la salle des fêtes, qui ne peut porter autre nom que celui de l’artiste, les chaises se remplissent petit à petit. À 14 h 15, Yves Cosqueric, le commissaire-priseur est prêt. Mais problème : pour des raisons de sécurité, la salle ne peut accueillir que 160 personnes assises.

Foule à l’entrée

À l’extérieur, les derniers arrivés sont déçus : « C’est lamentable, je n’ai jamais vu ça », s’exclame un homme. Adeline L’Honen, la maire de Batz-sur-Mer semble inquiète et demande à retirer les chaises des allées centrales et latérales : « Nous avons loué la salle avec une convention, l’organisateur doit la respecter ». Pendant quelques minutes, le commissaire-priseur tente de raisonner les visiteurs : « S’il y a un feu ou un malaise, il va falloir évacuer rapidement les lieux ». Rang par rang, des chaises se retirent. Un homme se lève et avance vers le commissaire : « Il y a une solution, c’est d’arrêter la vente ». Yves Cosqueric répond aussitôt : « Si vous n’êtes pas d’accord, il n’y a qu’une seule solution, celle de quitter la salle, c’est aussi simple que cela ». Sous les applaudissements du public, la vente peut enfin commencer.

Une première

Si la vente amène autant de personnes, c’est que celle-ci est exceptionnelle. Artiste international et adhérent au mouvement des Seiz Breur, Jean Fréour ne vendait ses œuvres qu’à de rares occasions. À la mort de l’artiste en 2016, sa femme n’avait absolument pas touché à son atelier. Deux ans plus tard, Soizic Fréour s’éteint à son tour. Les neveux et nièces de Jean Fréour proposent alors une vente aux enchères des œuvres de l’artiste pour la première fois. Au total, 216 œuvres sont passées devant l’auditoire mais aussi sur internet, via un live. Avant de débuter, le commissaire-priseur explique les règles de base. Beaucoup de personnes assistent à leur première vente, l’ambiance est donc bon enfant. Le commissaire est attentif et rappel à ceux qui lèvent la main qui les a bien vus et qu’il n’est pas la peine de l’appeler. D’autres sont plus habitués. Discrètes, les mains se lèvent et Yves Cosqueric monte le prix instantanément.

Les prix en hausse

Après une première vente timide, les acheteurs se prêtent au jeu. Les chiffres de départ n’étant pas très élevés, les prix gonflent. La Gitane en schiste bleu est passée de 1 300 € à 9 800 € en quelques minutes. Mais les enchères montent aussi sur le live. Le commissaire motive la salle : « Il n’y a pas d’œuvre de l’artiste sur le marché, c’est vous qui alimentez sa côte, c’est rarissime ». Mais à chaque passage au chiffre rond, les hésitations sont toujours là. « Entre 900 et 1 000 € c’est psychologique… Pour 100 € vous allez le regretter », ajoute le commissaire. La salle rigole et la vente prend son envol. Les acheteurs se lâchent et le prix des œuvres monte de plus en plus. Les sculptures de bois, bronze, marbre ou schiste ont trouvé acheteurs.

Publié le 30 juillet 2019 20:00 par Olympia Roumier – Presse Océan ©